• j'adore chandler (billet elliptique)

    salut.

    je devrais peut-être vous avertir avant toute chose que cet article comprend plusieurs ellipses, et est donc à l'image de mes pics de productivité absolument irréguliers. le billet est assez décousu du coup, mais je trouvais ça marrant. puis qui me dira quoi ? presque plus personne ne passe par ici, et je pense pouvoir affirmer avec quasi-certitude que je suis la seule lectrice de ces billets (et c'est pas plus mal).

    autre chose, j'ai pas relu. en partie par flemme. non, en fait, totalement par flemme mdrr. relire, c'est le genre de trucs que je fais seulement quand je peux vraiment pas faire autrement. style relire ma copie avant de la rendre. et encore je ne le fais pas tout le temps.

    un billet sur 5 mois (à peu près)

     

     

    22/10/2020

    j'ai regardé friends récemment. et j'ai adoré. je suis une grande amatrice de sitcoms. d'ailleurs, je ne sais pas qu'est-ce qui m'a pris autant de temps avant de démarrer le show. mais n'empêche, j'ai explosé les dix saisons en deux ou trois semaines.

    en ce moment je suis sur game of thrones. deux salles, deux ambiances.

    beaucoup s'est passé depuis mon dernier article. enfin, beaucoup. tout est relatif. de tout façon il ne me semble pas que quelqu'un lise encore ce que j'écris, donc je me sens assez libre d'écrire ce que je veux.

    j'ai fait ma rentrée en première. et j'apprécie bien plus aller en cours avant, car ce sont des cours qui me plaisent (pour la plupart), avec des profs que j'apprécie (pour la plupart aussi mmdr). l'histoire-géographie-géopolitique-sciences-politiques (oui, un nom de matière excessivement long) est sûrement ma spécialité préférée, déjà pour son contenu : c'est fascinant d'étudier l'histoire par sujet, par aspects, et pas chronologiquement. et c'est bien plus prenant. puis j'aime bien mon prof. j'ai été globalement chanceuse cette année, dans la mesure où aucun de mes professeur.e.s ne m'horripile ni ne me donne de l'urticaire. on y croit.

    je l'ai dit plus tôt, j'ai fini friends. maintenant que le générique me tape sur le système puisque j'ai du m'en manger au moins le début à chaque épisode - c'est-à-dire approximativement 16853645376 FOIS -, je peux vous dire ce que j'ai aimé, et ce que j'ai moyennement approuvé dans ce show. avec quelques années de from giphyretard certes, mais bon. on fait ce qu'on peut.
    — ma partie préférée de la sitcom réside incontestablement dans le titre du billet. chandler, je meurs pour ce type. je conçois que les préférences de personnages dans friends soient particulièrement relatives à nos goûts en humours mais dieu qu'est-ce que ce gars me fait rire. Matthew Perry est incroyable aux commandes de ce personnages, le voir en bloopers ruiner volontairement les scènes est un pur bonheur.
    — puis, son histoire avec monica ? je vous l'accorde, c'est pas pleins de rebondissements, ça n'a pas de quoi nourrir une bonne sitcom. mais je les AIME d'amour. c'est vraiment le type de duo auquel on ne s'attendait, mais auquel on est accro une fois qu'il est là. et c'est ce qu'on aime.
    — à l'inverse, pourquoi avoir donné autant d'attention et de crédit à rachel et ross ? pitié, je ne supporte pas ce couple. désolé, je crois que c'est pathologique. je sais que sans eux, bien des arcs et bien des épisodes seraient d'un certain ennui. mais c'est juste plus fort que moi, leur constant égoïsme, le fait de mettre leurs amis au beau milieu de leurs histoires, et toutes les merdes qu'ils traversent pour au final se remettre ensemble parce que l'AmOuR tRiOmPhE ? non lol-
    — j'adorais le personnage de joey dans les premières saisons, car je saluais le fait de retrouver pour une fois un personnage qui n'a pas les traits de "l'ami idiot" exacerbés, et donc duquel les blagues n'étaient pas forcément prévisibles. n'étaient. ils ont complètement ruiné joey sur les dernières saisons - sûrement par manque d'inspi, je sais pas -. mais ce délire de pousser les traits des persos jusqu'à en faire de bêtes caricatures réduit les gags initialement drôles à prévisible et un peu bête.
    bref, on retiendra les saisons une à cinq qui pour moi surpassent largement le reste, mais j'ai tout de même adoré friends. pas dans mon top trois sitcoms, mais probablement dans mon top dix.


    25/03/2021
    (ellipse, grosse ellipse)

    salut, comment allez-vous ?

    le changement ne doit pas tant vous dépayser puisqu'il date d'il y a deux lignes, mais plusieurs mois se sont écoulés pour moi. mon manque de productivité ne m'étonne nullement puisque je ne suis plus blogueuse, je suis juste là quand je glande à l'extrême. je m'étonne en réalité plus de mon assiduité par ici. je ne pensais revenir que dans deux ans.

    la situation sanitaire est assez apocalyptique depuis deux mois, le gouvernement tarde à donner des directives, et nous voilà dans notre troisième (ou pas) confinement (oui, c'est à ce point confus), qui ne change guère les choses pour moi puisque je continue de fréquenter mon merveilleux lycée. je ne le dis même pas ironiquement, j'adore mon lycée. j'adore les cours au lycée, je suis contente d'y aller, véritablement. mais je ne vois plus que la moitié de mes amis. même moins. ce qui n'est pas forcément un problème très légitime dans un monde où les gens crèvent et meurent de faim, mais j'avoue que j'aimerais bien les voir.

    depuis friends, beaucoup d'autres séries ont été visionnées sur l'ordinateur duquel j'écris ce billet. entre autres game of thrones, wandavision, from giphyborgen (une série politique danoise), leverage, et pas mal de sitcoms. j'aime beaucoup les sitcoms.
    j'ai aussi regardé les nouvelles séries marvel, ce qui me met en euphorie rien qu'à la mention. wandavision était vraiment cool et annonce des choses incroyables pour la suite, et the falcon and the winter soldier n'a pour l'instant révélé qu'un seul épisode mais semble prometteur (spoil premier ep : c'est qui ce captain leader price? j'hallucine).

    j'ai hâte que les cinémas rouvrent, notamment pour les prochaines sorties marvel (oui je suis vraiment l'amie un peu énervante qui en parle tout le temps). puis au-delà de ça, le cinéma reste un endroit incomparable au streaming bien que ce dernier dispose d'une meilleure accessibilité. c'est une expérience unique que de voir un film sur le bon écran, avec le bon son (et occasionnellement avec les bon public). en relisant les dernières phrases, je sonne comme une puriste, je ne suis pas une puriste. non. je n'illégitime aucune manière d'expérimenter une oeuvre cinématographique. simplement, les cinémas me manquent.


    17/04/2021
    (ellipse, moins grande ellipse, mais ellipse quand même)

    salut, oui bon bref ça fait longtemps, on a saisi.

    je suis actuellement confinée. enfin, confinée mais pas vraiment; plus de lycée mais la possibilité de sortir à volonté tant que je reste à moins de 10km de chez moi. chouette. la situation reste très confuse, j'espère simplement que tout ira bien.

    mon dernier paragraphe, sur les cinémas, m'a fait réaliser qu'en effet, je me justifie tout le temps. je dis en effet, car c'est un ami qui me l'a fait remarquer récemment. pas de la plus gentille des manières (mais c'est une histoire pour un autre jour), mais il a soulevé un point auquel je trouve difficilement une réponse. il est vrai que je ressens toujours le besoin de justifier mes opinions et décisions. et essayant de comprendre pourquoi j'agissais comme ça, j'en ai déduit que je me justifiais tout le temps pour deux raisons (pas forcément simultanées) : pour ne pas heurter quelqu'un/éviter le conflit, ou bien pour préserver mon image auprès des autres. c'est ce qui se passait lorsque je parlais de mon amour pour le cinéma. j'avais peur qu'on me prenne pour une puriste car je n'aime pas les comportement élitistes qui prônent une manière de faire. laissez les gens vivre, bon sang. bref, tout ça pour dire que je devrais peut-être arrêter, surtout en constatant que c'est en partie lié au fait que je ne sais pas me détacher de l'image que je renvois. 

    j'ai continué de regarder the falcon and the winter soldier. une de mes séries préférées du moment purée (le visionnage estmes vies, from giphy meilleur en connaissance des événements qui conduisent au programme : félicitations, 23 films vous attendent si vous voulez savourer la série dans son entièreté). des anciens méchants sont de retour (et pas toujours à la place de l'antagoniste), des problèmes de société sont soulevés au milieu de toute cette science-fiction (oui parce que les super-soldats c'est divertissant deux minutes mais ça fait du bien de regarder un programme encré dans son temps), et dois-je mentionner le duo incroyable que forment sam et bucky ? à mon sens, ils reprennent excellemment le flambeau de leur prédécesseurs et annoncent la couleur pour la suite du mcu.

    le bac blanc de français approche à grand pas, bien qu'on avance à l'aveugle puisqu'on a aucune idée de si les échéances de reprise en présentiel seront respectées. habituellement anxieuse à l'idée de ce genre d'examens, je suis vraiment relax quant à celui-ci. peut-être un peu trop sachant qu'il est quand même compté dans la moyenne. m'enfin, la procrastination à visiblement pris le dessus sur ma productivité. puis, j'ai préféré écrire cet article qu'aller réviser, et vu le nombre de personne qui le lira, je pense que ça en dit long sur mon envie de travailler actuellement.

    finalement, moi qui pensait que ce billet serait simplement le fruit de mon égocentrisme, j'ai peu parlé de moi, genre de moi moi (en même temps je préfère vraiment parler de séries mdrr). je ne me sens pas si bien que ça en ce moment, mais ça passera. ça finit toujours par passer. mais c'est compliqué de parler de ses émotions sans être cringe, surtout quand on écrit sur un blog. je me contenterai de dire que parfois on ne se sent pas à sa place, et on attend de voir ce qui se passe pour savoir si ça va mieux. oui, c'est à peu près ma vie actuellement. j'aimerais savoir dire ce genre de choses de manière plus poétique, ou bien plus claire, mais désolée je n'arrive à formuler les choses que comme ça. d'ailleurs j'ai jamais été si douée que ça à l'écriture, je m'étonne de voir le nombre d'articles que j'ai écrits à l'époque de musaly (oui le blog existe toujours ahah il est juste en privé, et il ne reverra jamais le jour). j'ai jamais réussi à finir l'écriture d'une histoire, en dépit de mes nombreuses tentatives. m'enfin, c'était pas le sujet.

    au final, je suis assez confuse sur ce qui finit toujours par me ramener sur le chemin d'eklablog. vous savez, ici, c'est un peu devenu l'endroit dont on parle au passé parce qu'il y a encore trois ans on écrivait des articles qui puaient le malaise tous les jours. mais la vérité, c'est que par moment, cet endroit fait encore parti de mon présent. car encore une fois, la place est devenue un peu déserte, mais il n'empêche qu'elle reste mon plus grand champ de liberté, qu'elle a longtemps été. ekla a été ma safe place des années, et quand je ne sais pas à qui parler au final c'est la personne qui m'écoute. merci ekla pour ces années de malaise. je suis contente de repasser par ici à l'occasion.

     

    paix et amour,

    ana. lila pour les intimes. je sais toujours pas quel nom employer ici. mon prénom n'est plus un secret depuis longtemps, mais ici je pense que ça restera lila mdrr.


  • Commentaires

    1
    Samedi 8 Mai 2021 à 11:12

    ça fait extrêmement longtemps, j'suis pas retournée sur ekla, j'en ai les larmes aux yeux quand je vois un semblant d'activité ici et là

    ça me fait plaisir de voir que tu es toujours en vie → moi de même pour le coup (même si j'avais décidé de reprendre mon blog déjà l'an dernier mais c'est encore passé à la trappe et ça m'attriste un peu...)

    je sais que des fois mon comportement et mes actions m'ont pas mal desservis en tant que "blogueuse" mais j'avais également besoin de prendre une pause aussi

    bref, à bientôt si tu repasses ici ^^

    • Voir les réponses


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :