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salut.
j'avais pensé à faire une série d'articles avec mes quelques conseils que j'ai retenu des séances de larmes de mes ami.e.s, vous savez dans l'esprit self-love s'accepter je chie des marguerites. puis je me suis rendue compte que j'étais plutôt mal placée pour cela, ayant moi-même beaucoup à améliorer de ma personne (et n'ayant même pas vécu le quart d'une vie nan mais qui suis-je).
cependant, pâtissant moi-même d'un défaut étant la gentillesse excessive (et je t'assure que ce n'est pas seulement le défaut que tu donnes quand à un entretien d'embauche quand on te demandes ton pire défaut et que tu ne veux pas te rabaisser), cela cause certains soucis liés au fait d'imposer ses limites au gens. je suis, la plupart du temps, incapable de refuser quoique ce soit ou de m'énerver pour ce que j'estime "peu" car je suis effrayée de déranger et qu'on me reproche mon attitude. j'essaye avec le temps d'y travailler, et cela m'amène à l'objet de cet article :
je ne sais pas qui aura besoin de lire ceci, mais à vous comme à moi — il est temps d'imposer ses limites.
set your boundaries
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salut,
cela fait un bout de temps que je n'ai pas écrit ici. les raisons ne se démarquent pas de mon habitude : la procrastination, puis la flemme, puis un combo des deux. entretemps, je suis partie en vacances dans le sud de la france, ce qui a encore contribué à cet écart.
ce qui m'amène à l'objet du jour (plus ou moins) : cet été. si la période estivale est ma préféré de l'année, ces vacances m'ont laissé indifférente, pour ne pas dire déçue. attention, je dis ça à ma place de personne ayant eu l'opportunité de souffler en vacances, dans un endroit hors de ma routine quotidienne. et j'en suis infiniment reconnaissante. mais vous voyez ce que je veux dire. le temps n'a jamais été réellement au rendez-vous, les humeurs non plus, il manquait quelque chose cette année. définitivement.
cet été ne fut pas le meilleur, mais pas le pire.
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salut.
comment allez-vous ? je vais plutôt bien pour ma part. dans un élan de nostalgie, je suis en fait retournée sur mon ancien blog, que je mentionne parfois ici, et dont certains se souviennent peut-être (please.. don't). le fait est, que je suis retombée sur plusieurs tags que j'ai faits.
en effet, le concept de tag était assez populaire sur la plateforme et faisait un peu vivre la communauté puisqu'on faisait relayer les concepts (l'idée était de taguer d'autres blogueurs.euses pour le faire après). pendant mon voyage parmi les tréfonds de musaly, j'ai donc eu l'occasion de me remémorer l'un des derniers tags que j'ai posté, en mars 2018, et qui consistait à taguer des gens en leur posant 11 questions. j'avait répondu ici à des questions de sname et #yuki.me voilà donc, plus de trois ans après, à répondre de nouveau à ce tag. les questions sont plutôt random, et je ne compte taguer personne (vous êtes épargnés pour aujourd'hui ahah). il s'agit simplement de redécouvrir un peu mes réponses et les comparer avec celles d'aujourd'hui. je n'ai pas encore relu l'article dans son intégralité. mais bref je parle encore trop, attaquons-nous juste à la partie qui nous intéresse..
j'ai supprimé une ou deux questions dont les réponses sont toujours les mêmes puisqu'elles touchent au passé, donc si vous voulez lire l'article original en son intégralité le voici - tag : sunshine blogger awards.
les vieilles traditions d'internet
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salut.
les derniers jours, voire semaines se sont déroulées sous une ambiance assez étrange pour moi. il faut croire que lorsque je me mets à me sentir vraiment bien, le court des choses ne peut vraisemblablement pas me laisser tranquille. j'étais pourtant bien moi, à viber sur du doja cat.
mi-joie mi-envie de tout arrêter
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la famille tenenbaum n'était originalement pas sur ma liste de films de 2021. mais le voyant sur disney+ un jour, je me suis dit qu'il serait bon de la rajouter (en ayant entendu du bien auparavant). puis, je l'ai regardé sur un coup de tête. chose que je fais rarement pour un film puisque j'ai toujours ce besoin pathologique de me renseigner sur le synopsis et sur la distribution. pourtant, je n'ai pas regretté. il est difficile d'expliquer pourquoi, mais la famille tenenbaum est l'un des films que j'ai le plus apprécié regarder de ma vie.
la critique contient des spoilers, notamment en images.. je vous conseille de ne pas vous avancer plus au risque de vous gâcher le film.
trigger warning : self-harm / mutilation. les images étant concernées par ce tw ne sont affichées qu'au survol et les paragraphes sont notifiés. vous pouvez donc lire le reste de l'article sans en lire cette partie.
j'ai regardé la famille tenenbaum
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